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Dolmen : Construction mégalithique préhistorique constituée d'une ou plusieurs grosses dalles de couverture (tables) posées sur des pierres verticales qui lui servent de pieds (les orthostates). Le tout était originellement recouvert, maintenu et protégé par un amas de pierres (cairn) et/ou de terre (tumulus).


Les dolmens sont généralement interprétés comme des monuments funéraires ayant abrité des sépultures collectives.


Les dolmens européens ont été construits entre la fin du V° et la fin du III° millénaire avant J.-C., ceux d'Extrême-Orient au 1° millénaire avant J.-C.


Le terme semblerait forgé à partir des mots bretons : t(d)aol (apparenté au latin tabula), « table » et men, « pierre ». Cependant, on dit généralement « liac'h ven », « liaven », «  lieven » ou « leven » dans les composés.


Certains dictionnaires étymologiques avancent que ce terme aurait été forgé outre-manche, à partir du cornique tolmen, qui aurait désigné à l'origine un cercle de pierres ou une pierre trouée.




Mégalithe : Monument constitué d'une ou plusieurs pierres de grandes dimensions, érigées (ou levées) par les hommes, sans l'aide de mortier ou de ciment pour fixer la structure.


Le nom vient des termes grecs megas (μέγας), grand et lithos (λίθος), pierre.




Menhir : Pierre dressée, plantée verticalement. Il constitue l'une des formes caractéristique du mégalithisme en Europe au Néolithique. La plupart ont été érigés en Europe entre 4 500 et 2 500 ans avant J.-C.


Les menhirs peuvent être implantés de façon isolée ou en alignement. Plus rarement, plusieurs menhirs peuvent être disposés en cercle ; on parle alors de « cercle de pierres » ou de cromlec'h.


Ce terme a été construit à partir du breton maen, « pierre », et hir, « longue ».







La Préhistoire a été initialement définie comme la période comprise entre l’apparition de l’Humanité et l’apparition des premiers documents écrits.

 

Si l'Histoire commence avec l'écriture, celle-ci n'apparaît toutefois pas simultanément dans toutes les régions du monde.

 

La notion de Protohistoire a donc été introduite initialement pour nommer l'étape au cours de laquelle des populations ne possèdent pas elles-mêmes l’écriture, mais sont mentionnées par des textes émanant d’autres peuples contemporains : c'est le cas par exemple des Gaulois d'avant la conquête romaine, décrits par des auteurs grecs et latins.




La Tène ou Second âge du fer est une culture de la Protohistoire qui se développe en Europe entre environ 450 av. J.-C. et 25 av. J.-C.

 

Considérée comme l'apogée de la civilisation celtique, elle s'achève avec la conquête romaine et les migrations germaniques.


Son nom provient du site archéologique de La Tène découvert en 1857 à Marin-Epagnier, sur les bords du lac de Neuchâtel en Suisse. La Tène donne l'adjectif « laténien(ne).




Le Hallstatt ou Premier âge du fer est une période succédant à l'âge du bronze final et précédant la période de La Tène ou Second âge du fer (fin de la Protohistoire).


Il tire son nom de celui d'un site archéologique qui se trouve à Hallstatt dans le Salzkammergut en Autriche.




L’âge du bronze est une période de la Protohistoire caractérisée par l’usage de la métallurgie du bronze, nom générique des alliages de cuivre et d’étain.

 

Aujourd’hui, il est admis que cette période succède à l’âge du cuivre ou Chalcolithique et précède l’âge du fer, dans les régions du monde où ces catégories sont pertinentes.


En effet, comme pour les autres périodes de la Préhistoire, les limites chronologiques de l’âge du bronze varient considérablement selon l’aire culturelle et selon l’aire géographique considérées.


Il est plus difficile à identifier dans certaines régions du monde, telles que l’Amérique latine où les civilisations précolombiennes connurent une métallurgie de l’or et du cuivre jusqu’à la conquête espagnole.




L'âge du cuivre correspond dans un sens plus restrictif et dans une acception culturelle au Chalcolithique des préhistoriens français (les préhistoriens italiens emploient quant à eux le terme Eneolitico).


Il désigne souvent (abusivement) une (improbable) période intermédiaire de la Protohistoire[1], étape de transition entre les industries lithiques et osseuses caractéristiques du Néolithique final et l'industrie métallurgique naissante qui leur succède à l'âge du bronze.


En réalité, dans les cultures du Chalcolithique, des minerais tels que l'or, l'argent et le cuivre sont exploités dans le cadre d'un artisanat secondaire, l'essentiel de la production demeurant en pierre et en os.




Le Néolithique est une période de la Préhistoire marquée par de profondes mutations techniques, économiques et sociales, liées à l’adoption par les groupes humains d’un modèle de subsistance fondé sur l’agriculture et l’élevage, et impliquant le plus souvent une sédentarisation.


Les principales innovations techniques sont la généralisation de l'outillage en pierre polie, la poterie, ainsi que le développement de l'architecture.

 

Dans certaines régions, ces mutations sont telles que certains auteurs considèrent le Néolithique comme le début de la Protohistoire.


Selon les aires géographiques considérées, ces importantes mutations sont relativement rapides et certains auteurs ont pu parler de « révolution néolithique ».

La néolithisation est toutefois un phénomène progressif, survenu à des dates différentes selon les régions.


Au Proche-Orient, le Néolithique débute vers 9 000 ans av. J.-C. Il prend fin avec la généralisation de la métallurgie et l’invention de l’écriture, vers 3 300 ans av. J.-C.




Le Mésolithique (du grec μέσος / mesos, « moyen » et Λίθος / lithos, « pierre », littéralement « âge moyen de la pierre ») est la période chronologiquement et culturellement intermédiaire entre le Paléolithique et le Néolithique (entre environ 10 000 et 5 000 ans av. J.-C. en Europe).

 

Les groupes humains de cette période perpétuent un mode de subsistance basé sur la chasse et la cueillette sous un climat tempéré proche de l'actuel.


Le Mésolithique est marqué par de tels changements économiques et sociaux que certains auteurs en font la première phase de la Protohistoire européenne.

 

Les études récentes montrent en effet que le Mésolithique voit les populations se fixer sur des territoires limités et développer très progressivement une agriculture sans domestication des espèces végétales, au côté des activités de pêche et de chasseur-cueilleurs avec des techniques de chasse innovantes (utilisation de microlithes comme armatures de flèches), des pratiques funéraires, l'émergence des premières nécropoles et des conflits sociaux.


Le Mésolithique s'achève avec la mise en place progressive des espèces végétales et animales domestiques lors du Néolithique européen, et l'économie mésolithique perdure localement jusqu'à environ 2 300 av. J.-C. en Europe septentrionale.




Le Paléolithique est la première et la plus longue période de la Préhistoire, contemporaine du Pléistocène, durant laquelle la société humaine est composée exclusivement de chasseurs-cueilleurs.


Le Paléolithique commence avec l’apparition de la première espèce du genre Homo, Homo habilis, il y a environ trois millions d'années. Cette période inclut l'apparition de notre espèce, Homo sapiens, il y a environ 200 000 ans, son expansion et le déclin des autres espèces du genre Homo. Elle s'achève vers - 12 000 ans avec la fin de la période géologique du Pléistocène.


Le Paléolithique est lui-même subdivisé en trois grandes périodes, correspondant à une évolution culturelle et technique : le Paléolithique inférieur (-2,9 millions / -300 000), le Paléolithique moyen (-300 000 / -30 000) et le Paléolithique supérieur (-30 000 / -12 000).






Calendrier de l’Évolution (années):



6 milliards : Naissance de la Terre.


5 milliards : Apparition de la vie.


480 millions : Plantes terrestres.


365 millions : Sortie de l'eau des vertébrés.


230 millions : Apparition des dinosaures.


225 millions : Apparition des mamifères.


65 millions : Disparition des dinosaures.


7 millions : Apparition des homminidés.







  

Quelques définitions